Il est frais, il est chaud, il a un doux parfum de nostalgie et de Jura… J’ai mis en ligne cette semaine un podcast sur la maison de mes grands-parents, un podcast dans lequel j’ai croisé les souvenirs des oncles et des cousines. Pendant les interviews, j’ai même fait pleurer ma maman, ce qui n’est pas bien du tout.
Que d’émotions durant le montage, à écouter et réécouter des passages qui disent parfois beaucoup plus que ce qu’on croit entendre. Que d’émotions à lire les réactions de la famille qui arrivent depuis mercredi. Ça fait chaud aux tripes tout ça.
Ce travail est une manière pour moi de créer une passerelle entre les deux chemins que je suis depuis un an et demi et qui semblaient prendre des directions bien distinctes : à ma droite, le podcast, à ma gauche la quête de souvenirs. J’en profite pour redéfinir mon slogan. L’heure de la prose : biographies et récits de vie croisés, à l’écrit ou en podcast. Je suis le roi du marketing ou je suis pas le roi du marketing ?
Aux deux voix envolées
Est-ce que cette série peut intéresser en dehors de mon cercle familial ? Honnêtement, aucune idée. Et si ce n’est pas le cas, ce n’est pas grave du tout. C’est peut-être même la définition d’un podcast de famille du reste. Mais qui sait ? C’est le paradoxe. Parfois, ce sont les souvenirs les plus singuliers qui touchent le plus de monde. Alors n’hésitez pas à jeter une oreille et à me dire. Si ça vous plaît, faites tourner. Et surtout, faites moi signe si vous voulez votre propre podcast de famille.
Le podcast doit s’afficher en bas de cet article. Vous pouvez aussi le trouver ici, ou sur les plateformes : Deezer, Spotify, Apple. Dans les semaines qui viennent, j’essaierai de publier quelques conseils pour ceux qui souhaitent se lancer seuls.
Je n’oublie pas que si je m’y étais pris plus tôt, on entendrait deux voix supplémentaires.
Salut Bernard. Salut Jean-Louis.
Salut mamie. Salut papi.
